vendredi 29 mai 2009
CALL FOR PAPER
ÉCRITURES DU CORPS / WRITING THE BODY
Colloque international / international conference
18-20 novembre 2010 – Université Paris 13
Campus Villetaneuse – France
Organisation : Centre d’étude des nouveaux espaces littéraires (CENEL Paris 13) et Centre for the Study of Sexual Dissidence and Cultural Change (University of Sussex, Brighton).
Appel complet à télécharger sur le site.
Colloque international / international conference
18-20 novembre 2010 – Université Paris 13
Campus Villetaneuse – France
Organisation : Centre d’étude des nouveaux espaces littéraires (CENEL Paris 13) et Centre for the Study of Sexual Dissidence and Cultural Change (University of Sussex, Brighton).
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CALL FOR PAPER
REPRESENTING GENDER IN THE PERFORMATIVE ARTS
International conference
12-13 November 2009
University of Groningen, Groningen, The Netherlands
Appel complet à télécharger sur le site.
International conference
12-13 November 2009
University of Groningen, Groningen, The Netherlands
Appel complet à télécharger sur le site.
lundi 25 mai 2009
TABLES RONDES
tables rondes organisées par la SN d'Annecy dans le cadre du festival EXTRA 09.
Programme à télécharger sur le site.
Programme à télécharger sur le site.
ACADEMIE D'ETE
3° Académie d'été pour danseurs et musiciens
LA DANSE DANS LA MUSIQUE DE J.S BACH
Avec : Florence Malgoire (Violoniste), Béatrice Massin (chorégraphe) et Jean-Marc Piquemal (danseur)
Du 29 juin au 3 juillet 2009 à Alfortville (94).
Programme à télécharger sur le site de l'aCD
LA DANSE DANS LA MUSIQUE DE J.S BACH
Avec : Florence Malgoire (Violoniste), Béatrice Massin (chorégraphe) et Jean-Marc Piquemal (danseur)
Du 29 juin au 3 juillet 2009 à Alfortville (94).
Programme à télécharger sur le site de l'aCD
COLLOQUE
SURGÈRES en Sorbonne, Tricentenaire d’Alexandre-Nicolas de La Rochefoucauld, marquis de Surgères (1709-1760)
Mardi 16 juin 2009 : 9 h 30 - 12 h 30 et 14 h 30 - 17 h 30
Maison de la Recherche de l’Université Paris-Sorbonne, 28 rue Serpente, 75006 PARIS
Journée d’étude organisée par Dominique QUÉRO
avec le Centre d'Étude de la Langue et de la Littérature Françaises des XVIIe et XVIIIe siècles (CELLF 17e-18e - UMR 8599 du CNRS et de l’Université Paris-Sorbonne)
Interventions de :
Jean DAGEN (Université Paris-Sorbonne, CELLF 17e-18e)
Carole DORNIER (Université de Caen)
Françoise GEVREY (Université de Reims)
Sylvain MENANT (Université Paris-Sorbonne, CELLF 17e-18e)
François MOUREAU (Université Paris-Sorbonne, CELLF 17e-18e)
Dominique QUÉRO (Université Paris-Sorbonne, CELLF 17e-18e)
Raymonde ROBERT (Université de Nancy)
Madeleine VAN STRIEN-CHARDONNEAU (Université de Leyde, Pays-Bas)
Né en 1709, Alexandre-Nicolas de La Rochefoucauld, marquis de Surgères, sert dans la cavalerie durant les guerres de succession de Pologne puis d’Autriche, et poursuit sa carrière militaire sur les côtes de l’Aunis et de la Saintonge où, devenu lieutenant-général, il assure au début de la guerre de Sept Ans le commandement de la place de La Rochelle, non loin de son château de Surgères où il meurt en 1760.
Ayant fréquenté dans sa jeunesse les cercles littéraires et mondains à Paris, où il se fait remarquer par la comédie de L’École du Monde dont Voltaire loue les « beaux vers » à la fin de son Temple du Goût, il continue toute sa vie à écrire : épîtres, contes, romans abrégés de La Calprenède, lettres (au comte de Sade par exemple), récit de voyage en Hollande, réflexions morales. C’est en outre comme auteur qu’il participe, en 1737-1741, avec le comte de Caylus, au théâtre de société du château de
Morville, dont il est l’un des principaux acteurs.
L’intérêt du marquis de Surgères pour la littérature paraît très significatif d’une conception de l’écriture comme pratique sociale et passe-temps d’honnête homme. Qu’il ne songe pas à la publication ne l’empêche pas d’apporter le plus grand soin à l’établissement de ses textes, qui se trouvent aujourd’hui conservés dans des bibliothèques comme celle de la Sorbonne, pour laquelle de nombreux manuscrits et des livres de sa bibliothèque (passée du fils au petit-fils, « émigré Doudeauville »)
ont été tirés des dépôts révolutionnaires par Sérieys, à qui l’on doit la publication de certains de ses écrits en 1802.
Entrée libre dans la limite des places disponibles
Pour toute information : CELLF 17e-18e
Université Paris-Sorbonne, 1 rue Victor Cousin, 75230 Paris cedex 05
Tel. : 01 40 46 25 35 – 01 40 46 47 90
Courriel : Dominique.Quero@paris-sorbonne.fr
http://www.cellf17-18.org
Mardi 16 juin 2009 : 9 h 30 - 12 h 30 et 14 h 30 - 17 h 30
Maison de la Recherche de l’Université Paris-Sorbonne, 28 rue Serpente, 75006 PARIS
Journée d’étude organisée par Dominique QUÉRO
avec le Centre d'Étude de la Langue et de la Littérature Françaises des XVIIe et XVIIIe siècles (CELLF 17e-18e - UMR 8599 du CNRS et de l’Université Paris-Sorbonne)
Interventions de :
Jean DAGEN (Université Paris-Sorbonne, CELLF 17e-18e)
Carole DORNIER (Université de Caen)
Françoise GEVREY (Université de Reims)
Sylvain MENANT (Université Paris-Sorbonne, CELLF 17e-18e)
François MOUREAU (Université Paris-Sorbonne, CELLF 17e-18e)
Dominique QUÉRO (Université Paris-Sorbonne, CELLF 17e-18e)
Raymonde ROBERT (Université de Nancy)
Madeleine VAN STRIEN-CHARDONNEAU (Université de Leyde, Pays-Bas)
Né en 1709, Alexandre-Nicolas de La Rochefoucauld, marquis de Surgères, sert dans la cavalerie durant les guerres de succession de Pologne puis d’Autriche, et poursuit sa carrière militaire sur les côtes de l’Aunis et de la Saintonge où, devenu lieutenant-général, il assure au début de la guerre de Sept Ans le commandement de la place de La Rochelle, non loin de son château de Surgères où il meurt en 1760.
Ayant fréquenté dans sa jeunesse les cercles littéraires et mondains à Paris, où il se fait remarquer par la comédie de L’École du Monde dont Voltaire loue les « beaux vers » à la fin de son Temple du Goût, il continue toute sa vie à écrire : épîtres, contes, romans abrégés de La Calprenède, lettres (au comte de Sade par exemple), récit de voyage en Hollande, réflexions morales. C’est en outre comme auteur qu’il participe, en 1737-1741, avec le comte de Caylus, au théâtre de société du château de
Morville, dont il est l’un des principaux acteurs.
L’intérêt du marquis de Surgères pour la littérature paraît très significatif d’une conception de l’écriture comme pratique sociale et passe-temps d’honnête homme. Qu’il ne songe pas à la publication ne l’empêche pas d’apporter le plus grand soin à l’établissement de ses textes, qui se trouvent aujourd’hui conservés dans des bibliothèques comme celle de la Sorbonne, pour laquelle de nombreux manuscrits et des livres de sa bibliothèque (passée du fils au petit-fils, « émigré Doudeauville »)
ont été tirés des dépôts révolutionnaires par Sérieys, à qui l’on doit la publication de certains de ses écrits en 1802.
Entrée libre dans la limite des places disponibles
Pour toute information : CELLF 17e-18e
Université Paris-Sorbonne, 1 rue Victor Cousin, 75230 Paris cedex 05
Tel. : 01 40 46 25 35 – 01 40 46 47 90
Courriel : Dominique.Quero@paris-sorbonne.fr
http://www.cellf17-18.org
COLLOQUE
Charles Collé (1709-1783), Colloque du Tricentenaire
3 et 4 juin 2009 à Paris
Colloque organisé par Marie-Emmanuelle PLAGNOL-DIÉVAL et Dominique QUÉRO
avec le soutien de l’Université Paris-Sorbonne, de son École doctorale III, de son Centre de Recherche sur l’Histoire du Théâtre (CRHT), du Centre d’Étude de la Langue et de la Littérature Françaises des XVIIe et XVIIIe siècles (CELLF 17e-18e, UMR 8599 du CNRS et de l’Université Paris-Sorbonne), de l’Université Paris 12-Val de Marne
de son équipe Lettres Idées Savoirs (EA 4395), de l’Association des Amis de l’Ermitage, et de son directeur Rémi RIVIÈRE.
Si le Journal de Collé rédigé de 1748 à 1772 est une mine d’informations pour tous les dix-huitiémistes, la carrière et la production du chansonnier, épistolier et dramaturge restent souvent méconnues. Le tricentenaire de sa naissance est donc l’occasion de renouveler les recherches sur un auteur de société qui, pour avoir été le fournisseur attitré des spectacles du duc d’Orléans (en ses résidences de Paris,
Bagnolet, Villers-Cotterets) ou du comte de Clermont (à Berny), n’en a pas moins visé une véritable reconnaissance littéraire (surtout par ses comédies) et a beaucoup réfléchi à sa difficile condition d’homme de lettres.
On s’intéressera ici à l’ensemble des œuvres (imprimées et manuscrites) de Collé, à leur place dans l’histoire des formes comiques et des petits genres. On envisagera aussi ses relations avec ses contemporains, tout comme sa fortune littéraire.
Programme complet à télécharger sur le site de l'aCD
3 et 4 juin 2009 à Paris
Colloque organisé par Marie-Emmanuelle PLAGNOL-DIÉVAL et Dominique QUÉRO
avec le soutien de l’Université Paris-Sorbonne, de son École doctorale III, de son Centre de Recherche sur l’Histoire du Théâtre (CRHT), du Centre d’Étude de la Langue et de la Littérature Françaises des XVIIe et XVIIIe siècles (CELLF 17e-18e, UMR 8599 du CNRS et de l’Université Paris-Sorbonne), de l’Université Paris 12-Val de Marne
de son équipe Lettres Idées Savoirs (EA 4395), de l’Association des Amis de l’Ermitage, et de son directeur Rémi RIVIÈRE.
Si le Journal de Collé rédigé de 1748 à 1772 est une mine d’informations pour tous les dix-huitiémistes, la carrière et la production du chansonnier, épistolier et dramaturge restent souvent méconnues. Le tricentenaire de sa naissance est donc l’occasion de renouveler les recherches sur un auteur de société qui, pour avoir été le fournisseur attitré des spectacles du duc d’Orléans (en ses résidences de Paris,
Bagnolet, Villers-Cotterets) ou du comte de Clermont (à Berny), n’en a pas moins visé une véritable reconnaissance littéraire (surtout par ses comédies) et a beaucoup réfléchi à sa difficile condition d’homme de lettres.
On s’intéressera ici à l’ensemble des œuvres (imprimées et manuscrites) de Collé, à leur place dans l’histoire des formes comiques et des petits genres. On envisagera aussi ses relations avec ses contemporains, tout comme sa fortune littéraire.
Programme complet à télécharger sur le site de l'aCD
vendredi 15 mai 2009
PUBLICATION
Frédéric pouillaude, Le désœuvrement chorégraphique. Etude sur la notion d'oeuvre en danse, Paris, Vrin, 2009.
Il n’y a pas de bibliothèque du mouvement, de lieu où les œuvres
chorégraphiques trouveraient à se conserver, identiques à
elles-mêmes et offertes à tous. C’est un fait. Rien qu’un fait. Mais
qui engage énormément.
En premier lieu : l’incapacité de la philosophie et de l’esthétique à
penser les pratiques chorégraphiques selon le régime commun de
l’oeuvre. C’est toujours d’un autre espace que la danse semble
relever, à la fois plus frivole et plus fondamental, toujours en deçà
ou au-delà du projet de l’oeuvre. Cette absence d’oeuvre,
abstraitement mise au jour par la philosophie, nous tentons de
l’analyser en une première partie.
De là, il s’agit d’articuler un autre concept, connexe mais différent :
celui de désoeuvrement. Les écrits philosophiques sur la danse
assignent la pratique du mouvement à une pure et simple absence
de production, à l’expérience de la dépense et de l’auto-affection.
Nous soutenons que ce philosophème (abstraitement nommé
absence d’oeuvre) ne fait que réfléchir dans l’ordre du discours
une fragilité interne et propre aux oeuvres chorégraphiques,
fragilité que nous nommons : désoeuvrement.
mardi 12 mai 2009
PUBLICATION
Brigitte Gauthier, Le langage chorégraphique de Pina Bausch, Paris, L'Arche, 2009 (photos de Guy Delahaye).
Rien n’est plus difficile que décrire des gestes, des pas, des couleurs, des sons, leurs relations, leurs continuités. C’est pourtant la tâche de celui qui essaie de comprendre le « système » esthétique de Pina Bausch. Pas étonnant donc que la plupart des ouvrages qui visent son oeuvre débordent d’images et se contentent de fournir des arguments lapidaires. Il y a dans la personne de Pina Bausch ce mélange d’une grande fragilité et d’une grande force. « La force la plus grande est un profond désir », a-t-elle un jour déclaré. La douceur de son regard surprend. La simplicité de ses gestes, le ralenti de ses jeux de mains ouvrent sur une danse qui n’est pas une chorégraphie imposée de l’extérieur. La création de ses pièces est proche de l’enseignement socratique, elle fait naître la danse de l’intérieur des danseurs. Elle leur permet de laisser émerger le mouvement, dont il faut découvrir l’origine en soi-même. Ainsi ses oeuvres puisent dans des ressources qui, jusque-là, restaient inexplorées ou étaient taries.
Brigitte Gauthier, Professeur à l’Université de Lyon (Jean Moulin), membre de l’IETT, présente, au cours de cette étude, l’émergence de ce mouvement dansé si typique de Pina Bausch. Son travail part du souvenir des textes d’Erving Goffman (1922-1982) sur la dramatisation de l’expérience quotidienne. Goffman a essentiellement travaillé sur les lieux d’interaction entre les individus. Il existe des seuils entre nos différentes activités, ces moments de passage d’un état à un autre. C’est là où le lien surgit. C’est là où la méthode de Goffman peut nous aider à comprendre par l’analyse cette oeuvre unique qui est celle de Pina Bausch.
RAPPEL - RAPPEL - RAPPEL - RAPPEL
L'AG de l'association des chercheurs en danse se tiendra à Micadanse
le mercredi 20 mai à 10h.
le mercredi 20 mai à 10h.
APPEL A COMMUNICATION
CORPS ET MACHINES À L’ÂGE INDUSTRIEL (XIXe-XXe SIÈCLES)
Colloque international d’histoire
17, 18, 19 mai 2010
Avec l’industrialisation, c’est un monde de machines qui s’impose en de multiples lieux de la société, offrant de multiples points de contact avec les corps. L’historiographie a jusqu’ici privilégié le monde de l’atelier puis de l’usine, insistant sur la dimension aliénante et coercitive des machines, sur les pathologies industrielles, sur l’usure d’un corps au travail dont l’étude doit aussi s’étendre aux rapports de sexe ou d’âge. Le procès de rationalisation du travail suggère l’idée d’un passage « foucaldien » d’un régime de discipline des corps à celui d’un biopouvoir, préservant et optimisant l’utilité des corps, dans lequel s’inscrit la normalisation des conditions de travail, les lois de protection des travailleurs, la prise en compte du facteur humain, ou les efforts de l’ergonomie. C’est aussi une nouvelle sensibilité à l’intégrité corporelle qui se met en place.
Suite de l'appel à communication à télécharger ici.
Colloque international d’histoire
17, 18, 19 mai 2010
Avec l’industrialisation, c’est un monde de machines qui s’impose en de multiples lieux de la société, offrant de multiples points de contact avec les corps. L’historiographie a jusqu’ici privilégié le monde de l’atelier puis de l’usine, insistant sur la dimension aliénante et coercitive des machines, sur les pathologies industrielles, sur l’usure d’un corps au travail dont l’étude doit aussi s’étendre aux rapports de sexe ou d’âge. Le procès de rationalisation du travail suggère l’idée d’un passage « foucaldien » d’un régime de discipline des corps à celui d’un biopouvoir, préservant et optimisant l’utilité des corps, dans lequel s’inscrit la normalisation des conditions de travail, les lois de protection des travailleurs, la prise en compte du facteur humain, ou les efforts de l’ergonomie. C’est aussi une nouvelle sensibilité à l’intégrité corporelle qui se met en place.
Suite de l'appel à communication à télécharger ici.
lundi 11 mai 2009
APPEL A CONTRIBUTION
La création est-elle par nature risquée, et si oui, ce risque a-t-il encore cours ? Que risquent les artistes en dehors du risque du marché? Si créer, c'est mettre en jeu son identité subjective dans l'objet d'art, qu'est-ce que le contexte actuel (économique, social, politique) soulève comme nouveaux enjeux ? Le risque esthétique nous amène tout autant à terme à penser le risque d'une perception du monde réduite à sa distance esthétique. La production intarissable de déchets, la dégradation de notre habitat naturel appellerait de manière systémique une hyper-esthétisation nocive (et quelque peu cynique) d'un monde « kitschisé » et en voie de décomposition. Réalités et utopies, échecs et ambivalence de la prise de risque esthétique : toutes les approches théoriques, tous les champs de recherche, tous les types de prise de parole, descriptives et/ou polémiques et engagées, sont susceptibles d'apporter un éclairage sur la question.
Pour en savoir plus, suivre ce lien.
Pour en savoir plus, suivre ce lien.
APPEL A CONTRIBUTION
Pour le premier numéro de la revue en ligne pluridisciplinaire et interuniversitaire Réel-virtuel, nous proposons de nous déplacer de la dimension technique de l’image numérique à son extension pratique, afin de réfléchir sur la notion de « texture », en relation avec celles de texte ou structure, d’effet de matière ou vision, de tissu ou réseau, et de contexte. Quelles sont, à travers le numérique, les contradictions, permanences et mutations de ces concepts ? Et, en retour, permettront-ils de spécifier le numérique autrement que par ses propriétés techniques ?
Plus de renseignement en suivant ce lien.
Plus de renseignement en suivant ce lien.
ATELIER RENCONTRE RECHERCHE
Pour regards sur des moments de "Délier...", création 2009 de la Compagnie Taffanel
A l'atelier JDT les 25 et 26 mai 2009 à partir de 18h.
Adresse : 278 avenue de l'Europe, Castelnau Le Lez, Montpellier Agglomération
Tram n°2 arrêt Charles de Gaulle, direction Jacou / Sablassou
Il est impératif de confirmer votre venue par téléphone : 06 76 28 68 31
jeudi 7 mai 2009
JOURNEE D'ETUDE
Journées d’études 2L2S – ERASE
« Chefs-d’œuvre et réception » dans le cadre de constellation http://www.centrepompidou-metz.fr/site/fr/nav/agenda3
Metz, les 14-15-16 mai 2009
Programme à télécharger en suivant ce lien
« Chefs-d’œuvre et réception » dans le cadre de constellation http://www.centrepompidou-metz.fr/site/fr/nav/agenda3
Metz, les 14-15-16 mai 2009
Programme à télécharger en suivant ce lien
mercredi 6 mai 2009
PUBLICATION
Christine Roquet, Fattoumi-Lamoureux, danser l'entre l'autre, Paris, Séguier, 2009
Depuis le duo de leur rencontre, Husaïs (1990),
Héla Fattoumi et Éric Lamoureux, devenus ensemble chorégraphes,
s’attachent à assigner à leur danse partagée le dessein d’interroger la relation.
« Nous tentons de faire partager les obsessions
qui nous habitent depuis le début de notre travail :
qu’est-ce qui se joue entre les êtres ? Quelle présence à l'autre ? »
Par l’analyse des pièces chorégraphiques récentes et de leurs processus
de création, le spectateur-lecteur examinera avec ce livre
comment se tisse à deux un imaginaire de la relation.
Danser ensemble, penser la danse ensemble, construire la danse ensemble,
qu’a donc le geste dansé, placé au centre de cette étude,
à nous dire de cette rencontre ?
Comment une danse contemporaine propose-t-elle d’inventer de la relation ?
mardi 5 mai 2009
ATELIER RENCONTRE RECHERCHE
Association pour un Centre de Recherche
sur les Arts du Spectacle aux XVIIe et XVIIIe siècles
Le corps dans la mise en spectacle des oeuvres des XVIIe et XVIIIe siècles : Maintien, mouvement et geste des comédiens, chanteurs et danseurs
18 au 20 mai 2009
Programme à télécharger en suivant ce lien
sur les Arts du Spectacle aux XVIIe et XVIIIe siècles
Le corps dans la mise en spectacle des oeuvres des XVIIe et XVIIIe siècles : Maintien, mouvement et geste des comédiens, chanteurs et danseurs
18 au 20 mai 2009
Programme à télécharger en suivant ce lien
PRIX LEVI-STRAUSS
À l'occasion du centenaire de Claude Lévi-Strauss, le Ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche a créé un prix national qui portera le nom de ce grand anthropologue. La gestion en a été confiée à l'Académie des Sciences morales et politiques.
Ce prix, d'un montant de 100 000 €, a pour vocation de reconnaître et de soutenir l'excellence dans le domaine des sciences humaines et sociales.
L’objectif du Prix Claude Lévi-Strauss, qui ne peut être partagé, est de distinguer un chercheur qui, par ses travaux, contribue à une évolution significative des méthodes ou des approches en sciences humaines et sociales. Cette définition suppose que les travaux de ce chercheur aient acquis une forte visibilité internationale et qui dépasse les frontières de sa propre discipline.
Tout chercheur en activité travaillant en France peut se porter candidat ou être recommandé pour le Prix Claude Lévi-Strauss. Seuls les membres de l'Institut de France sont exclus de ce concours.
Date de clôture des candidatures : avant le 10 mai 2009 à minuit délai de rigueur, par voie électronique
Informations : http://www.prix-cls.fr/
Ce prix, d'un montant de 100 000 €, a pour vocation de reconnaître et de soutenir l'excellence dans le domaine des sciences humaines et sociales.
L’objectif du Prix Claude Lévi-Strauss, qui ne peut être partagé, est de distinguer un chercheur qui, par ses travaux, contribue à une évolution significative des méthodes ou des approches en sciences humaines et sociales. Cette définition suppose que les travaux de ce chercheur aient acquis une forte visibilité internationale et qui dépasse les frontières de sa propre discipline.
Tout chercheur en activité travaillant en France peut se porter candidat ou être recommandé pour le Prix Claude Lévi-Strauss. Seuls les membres de l'Institut de France sont exclus de ce concours.
Date de clôture des candidatures : avant le 10 mai 2009 à minuit délai de rigueur, par voie électronique
Informations : http://www.prix-cls.fr/
APPEL A COMMUNICATION
Le Rayonnement de la France à l’Âge Classique
Onzième Congrès du Centre International de Rencontres sur le XVIIe siècle (CIR 17)
Georgetown University, Washington, DC (U.S.A.), 25-27 Mars 2010
A télécharger en suivant ce lien.
Onzième Congrès du Centre International de Rencontres sur le XVIIe siècle (CIR 17)
Georgetown University, Washington, DC (U.S.A.), 25-27 Mars 2010
A télécharger en suivant ce lien.
COLLOQUE
LES SPECTACLES SOUS LE SECOND EMPIRE
Théâtre de Saint-Quentin-en- Yvelines, Opéra national de Paris (Palais Garnier), 27-29 mai 2009
Le Second Empire est une période dont on commence seulement à mesurer la richesse en matière culturelle. C’est en effet sous Napoléon III que se mettent en place les prémisses d’une culture de masse. L’insertion de la culture dans le système capitaliste et libéral est particulièrement sensible en matière de spectacles, qui constituent alors le principal loisir des Français. Par le décret du 6 janvier 1864, l’Empire instaure la « liberté des théâtres », mettant fin à tout contrôle administratif (hormis la censure) sur les spectacles. C’est certainement la décision politique la plus importante de tout le XIXe siècle en matière théâtrale. A côté de cette mesure d’une importance exceptionnelle, le régime impérial multiplie les initiatives : restructuration des théâtres de la banlieue parisienne, destruction des théâtres populaires du « Boulevard du Crime », réforme des scènes officielles, construction de nouvelles salles (dont la plus importante est le « nouvel Opéra » conçu par Charles Garnier), etc.
C’est cette politique, jamais étudiée, que le colloque va détailler, en en examinant toutes les composantes, ainsi que les structures et les personnes qui l’ont mise en oeuvre. Toutes les institutions théâtrales (Opéra, Comédie-Française, Odéon, etc.) seront étudiées, ainsi que l’activité des spectacles dans les principales villes de province. En outre, un bilan sera proposé pour tous les genres (comédie, tragédie, vaudeville, drame, etc.) sans oublier les genres qui naissent ou se développent à cette époque : opérette, café-concert, cirque, etc. Tous les aspects de la vie des spectacles seront envisagés : censure, statut des artistes, critique dramatique, etc. Ainsi l’on verra que les années 1850 et 1860, loin d’être aussi vides que le laissent supposer les manuels d’histoire du théâtre, sont une étape essentielle dans l’évolution des spectacles en France.
PUBLICATION
Waeber, Jacqueline (éd.), Musique et Geste en France de Lully à la Révolution. Études sur la musique, le théâtre et la danse, Peter Lang, Publications de la Société Suisse de Musicologie Série II.
ISBN 978-3-03911-637-9 br.
Domaine partagé entre arts de la scène et arts visuels, l'étude des interactions entre musique et geste est encore peu visitée par la recherche interdisciplinaire. S'adressant à des musicologues, des historiens de l'art, du théâtre et de la danse, le présent ouvrage invite à l'exploration des diverses facettes du jeu scénique, tel que pratiqué sur une période allant de la tragédie lyrique sous le règne de Louis XIV à l'avènement du mélodrame théâtral et à l'essor du Grand Opéra au cours des premières décennies suivant la Révolution.
Les treize études de ce volume portent sur l'émergence de nouvelles pratiques dramaturgiques dans le domaine de la danse et du geste au cours des XVIIe et XVIIIe siècles. Sont également mises à jour les influences réciproques entretenues dans la France de l'Ancien Régime avec d'autres courants artistiques, tels que le ballet en action viennois ou les traditions théâtrales foraines héritées de la commedia dell'arte. Le volume est agrémenté de nombreux exemples musicaux, facsimilés et documents iconographiques, et offre en annexe le texte complet de deux pièces inédites, L'Acte Pantomime ou la Comédie sans paroles (1732) et Le Réveil des Vaudevilles (1749).
ISBN 978-3-03911-637-9 br.
Domaine partagé entre arts de la scène et arts visuels, l'étude des interactions entre musique et geste est encore peu visitée par la recherche interdisciplinaire. S'adressant à des musicologues, des historiens de l'art, du théâtre et de la danse, le présent ouvrage invite à l'exploration des diverses facettes du jeu scénique, tel que pratiqué sur une période allant de la tragédie lyrique sous le règne de Louis XIV à l'avènement du mélodrame théâtral et à l'essor du Grand Opéra au cours des premières décennies suivant la Révolution.
Les treize études de ce volume portent sur l'émergence de nouvelles pratiques dramaturgiques dans le domaine de la danse et du geste au cours des XVIIe et XVIIIe siècles. Sont également mises à jour les influences réciproques entretenues dans la France de l'Ancien Régime avec d'autres courants artistiques, tels que le ballet en action viennois ou les traditions théâtrales foraines héritées de la commedia dell'arte. Le volume est agrémenté de nombreux exemples musicaux, facsimilés et documents iconographiques, et offre en annexe le texte complet de deux pièces inédites, L'Acte Pantomime ou la Comédie sans paroles (1732) et Le Réveil des Vaudevilles (1749).
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