lundi 28 octobre 2013

PUBLICATIONS 2013


Allemagne- Nouvelle revue numérique


Die Redaktion von www.theaterforschung.de gibt ab November das eJournal "etum" heraus.  Das Journal “etum - eJournal für Theater und Medien” (http://www.ejournal.theaterforschung.de) widmet sich als Open-Access-Zeitschrift der Veröffentlichung von praktisch und theoretisch orientierten Artikeln. Begrüßt werden Artikel, die sich mit theatralen und medialen Phänomenen von der Antike bis zur Gegenwart auseinandersetzen und sich mit ästhetischen, geschichtlichen, theoretischen oder methodischen bis hin zu pädagogischen Fragestellungen beschäftigen. Die Annahme eingereichter Artikel erfolgt nach der Begutachtung durch zwei unabhängige anonyme Peer Reviewer. Artikel können jederzeit eingereicht werden.

Etum wird herausgegeben von der Redaktion: Herr Andreas Hudelist, Herr Dr. Ingo Jonas, Frau Dr. Stefanie Kuhn und Herr Dr. Holger Südkamp.
Unterstützt wird etum durch die Beiräte: Frau Prof. Dr. Brigitte Hipfl - Alpen-Adria-Universität Klagenfurt, Herr Prof. Dr. Guido Hiss - Ruhr-Universität Bochum,  Herr Dr. Jan Lazardzig - Universiteit van Amsterdam, Jun. Prof. Dr. Sven Lindholm - Ruhr-Universität Bochum. und Herr Prof. Dr. Rainer Winter - Alpen-Adria-Universität Klagenfurt 
----------------------------------------------------------------------------
Espagne - Nouvelles publications en ligne sur le site d'ARTEA

Numérisation d'ouvrages sur les arts scéniques et sur la danse


Lecture / présentation des ouvrages: 

· LECTURAS SOBRE DANZA Y COREOGRAFÍA
· EL UNIVERSO DERENIANO. TEXTOS FUNDAMENTALES DE LA CINEASTA MAYA DEREN 
· OLGA MESA Y LA DOBLE VISIÓN. 20 AÑOS DE EXPERIMENTACIÓN COREOGRÁFICA CON UNA CÁMARA PEGADA AL CUERPO

Sábado 26 de octubre, 19h.
La Central del Museo Reina Sofía (Ronda Atocha, 2 / 28012 MADRID)
------------------------------------------------------------------------------------------------------

Théâtres Parisiens : un patrimoine du XIXe siècle • Jean-Claude Yon avec les photographies de Sabine Hartl et Daniel-Olaf Meyer • Citadelles & Mazenod • ISBN : 9782850885686 • 240 p.


Paris, au XIXe siècle, est la capitale mondiale des spectacles et les Parisiens sont réputés pour leur passion du théâtre. Pour les accueillir chaque soir, un grand nombre de salles sont
construites tout au long du siècle. Les architectes conçoivent ces bâtiments en pensant aux sociabilités propres à la sortie théâtrale : la salle de spectacle est un lieu où l'on vient pour se rencontrer autant que pour assister à une représentation. Elle est aussi l'endroit où se forme l'opinion publique et, à ce titre, elle est étroitement surveillée par les autorités. Bon nombre de ces salles parisiennes sont encore en fonction et gardent tout leur pouvoir de séduction.

Des institutions nationales aux théâtres populaires, ce livre propose de découvrir, à travers une sélection de quinze salles, un patrimoine architectural méconnu et fait revivre quelques grandes pages de l'histoire du théâtre
---------------------------------------------------------------------------------------------------------
Marie-Luise Angerer (Hg.), Yvonne Hardt (Hg.), Anna-Carolin Weber (Hg.), 
Choreographie – Medien – Gender, Paris/Berlin, Diaphane, 2013. 


Choreographie, Medien und Gender sind zentrale Begriffe kulturwissenschaftlicher Forschung, die in dieser Konstellation allerdings noch selten zusammen analysiert wurden. Der interdisziplinär ausgerichtete Band unternimmt es, dieses komplexe Gefüge im Kontext zeitgenössischer Tanz- und Performancekunst zu untersuchen und seine Bedeutung für das Verständnis von Wissensordnungen und Medialität herauszuarbeiten. Die AutorInnen fragen nach den Verschränkungen von Macht und medial-performativen Konstellationen in Tanz und Performance; sie zeigen auf, mit welchen Strategien Gender-Konfigurationen konstruiert und/oder subvertiert werden; sie fragen danach, was das »doing« bzw. »dancing gender« im Zusammenhang einer Produktionsästhetik bedeutet.Der Band positioniert sich gegen jenen schleichenden »Backlash«, der Fragen von Gender und Macht zunehmend als ausgehandelt und nicht mehr thematisierungsbedürftig betrachtet.

--------------------------------------------------
Thom Hecht, Dancing Archives – Archive Dances. Exploring Dance Histories at the Radcliffe College Archives, Transcript, Reihe TanzScripte, 2013.

This book presents the first in-depth archival exploration of a lost history of dance as an extracurricular activity at Radcliffe College, the women's liberal arts college of Harvard University, during the first half of twentieth century. Using archival story-ing, an innovative methodology that brings the researcher's lived experience at the Radcliffe College Archives into the historical discourse, three archive stories were created. These vivid narratives thrive in the researcher's personal encounters with the surroundings of the archive and the interpretation and reading of what is to be found giving profound insights into what it means to walk in the footsteps of Radcliffe dance history.

------------------------------------------
Sophie Jacotot, Danser à Paris dans l'entre-deux-guerres. Lieux, pratiques et imaginaires des danses de société des Amériques (1919-1939), Paris, Editions Nouveau Monde, 2013. 


Entre les deux guerres mondiales, la pratique des danses de société à Paris connaît une mutation sans précédent en raison de l’introduction de genres provenant des États-Unis (fox-trot, shimmy, charleston…), de la zone caribéenne (biguine, rumba…) et d’Amérique du Sud (tango, samba…).

Au lendemain de l’armistice, le dancing, lieu privilégié de la pratique des danses nouvelles, propose au public un contexte attrayant. Accueillant des orchestres de jazz, de tango ou de musique antillaise, il fait concurrence aux grands bals hérités de la Belle Époque ainsi qu’aux bals populaires et se distingue par une mixité sociale, générationnelle et ethnique inédite. Comment la société parisienne s’approprie-t-elle ces danses des Amériques ? Quels en sont les passeurs (musiciens, danseurs…) ? En quoi les innovations techniques (disque, radio, cinéma) ont-elles permis la fixation ainsi que la médiatisation de genres illégitimes dans leur territoire d’origine ?

À travers l’analyse des pratiques et des imaginaires, il s’agit aussi de comprendre comment, malgré les résistances de toutes sortes (nationalistes, corporatistes, puritaines, xénophobes, etc.), ces danses ont rencontré un succès phénoménal, comment ces Amériques à la culture métisse sont devenues des modèles durables en matière de pratiques sociales de danse et comment ces nouvelles formes ont modifié en profondeur les rapports des Français et des Françaises au corps, au rythme et au couple dansant.




Danseuse et docteure en histoire de l’université Paris 1, Sophie Jacotot a reçu le prix de thèse 2009 du musée du Quai Branly. Elle s’est intéressée aux transferts culturels chorégraphiques transatlantiques et aux modalités de la pratique sociale de la danse en France dans l’entredeux-guerres. Chercheuse associée au Centre de recherches sur les arts et le langage (CRAL)et au Centre d’histoire sociale du XXe siècle (CHS), elle poursuit ses recherches sur l’histoire de la danse à l’époque contemporaine.

----------------------------------

Enora Rivière, Ob.scène : récit fictif d'une vbie de danseur, Pantin, Centre national de la danse, 2013. 


Qu’est-ce qu’une vie de danseur ? Peut-on la raconter ?
À partir d’entretiens menés en studio avec des danseurs interprètes de formation, de culture et d’âge différents, Enora Rivière recompose la biographie fictionnelle d’un danseur. Une histoire de corps et donc de vie, où l’on parle beaucoup de ce que l’on croit savoir ou avoir su de la danse, de ce que l’on en espère ou en a espéré, de ce que cela signifie passer sa vie à danser...
Parmi les moments clés ou les thèmes évoqués dans le livre : le temps du salut, l’entrée en scène (préparatifs, rituels), la représentation, l’inscription dans la troupe, le processus de création, la « vocation », la formation, la pédagogie…
Ce texte de nature littéraire joue sur le multiple et le singulier, laissant entendre des voix entremêlées dont on distingue toujours la tonalité personnelle. Au récit de ces moments de vie répond l’évocation d’expériences de scène, les danseurs décrivant alors les perceptions et les sensations qui les traversent lorsqu’ils sont au plateau ou « au bord de » la scène (ob.scène).

Enora Rivière danse, écrit, assiste, transmet et crée des projets chorégraphiques. Elle collabore avec de nombreux chorégraphes, parmi lesquels Mathilde Monnier, Gilles Jobin, Olivier Dubois, Dominique Brun, David Wampach, Olga de Soto, Aurélien Richard, ou encore Pierre Rigal. Elle prépare actuellement un spectacle chorégraphique autour d’ob.scène.

---------------------------------------------------

Aucun commentaire: