mercredi 30 janvier 2013

LABORATOIRE DU GESTE




Le Laboratoire du Geste  vous présente
la 11e session de

Cette onzième session aura lieu le Mardi 19 Février 2012 de 18h à 21h
avec Cécile Proust

S’ETENDRE
sens 1 Occuper un certain espace dans le temps et la surface
sens 2 Augmenter, se développer
sens 3 Se coucher
sens 4 Parler longuement
Synonymes : aller, augmenter, côtoyer, couvrir, croître, développer, durer, gagner, grandir, progresser, prospérer, s’aggraver, s’agrandir, s’allonger, s’aplatir, s’élargir, se prolonger, se propager, s’étaler, s’étirer, se vautrer, s’intensifier. 
Cécile Proust est danseuse, chorégraphe et pédagogue. Depuis 2005, elle dirige femmeuses  qui interroge  la construction des corps, la fabrique des genres et les rôles sexués. À ce jour 27 femmeusesactions ont été réalisées, elles  prennent de multiples formes : spectacles, conférences, performances, vidéos, installations, programmations de spectacles, commissariat d’expositions, programmes pédagogiques. Des artistes de différents champs et des théoricien­e-s sont exposé­e-s, invité­e­s ou collaborent aux recherches de femmeuses. Cécile Proust est titulaire du master SPEAP-programme d’expérimentation en arts et politique- fondé par Bruno Latour. Elle conduira, pour trois ans, le séminaire Arts et féminismes à la fondation Hartung Bergman. http://femmeuses.org


IMPORTANT Il convient que chaque participant-es se munissent d’un tapis de sol, duvet et éléments de confort
Inscription obligatoire : laboratoire@laboratoiredugeste.com
Université Paris 1 Panthéon Sorbonne
UFR Arts Plastiques et Science de l’Art
 47 rue des bergers 75015 Paris
Métro : Lourmel, Boucicault Javel, Charles Michel
Tram : Balard
Salle 432, 4ème étage
Ces sessions sont conçues et imaginées  
par Mélanie Perrier & Barbara Formis  www.laboratoiredugeste.com 

PETITE UNIVERSITE POPULAIRE DE LA DANSE


La Petite université populaire de la danse
 organisée au Théâtre national de Chaillot et au Musée du Louvre 
en partenariat avec le département Danse de Paris 8

reprend autour du verbe "fuguer"

samedi 16 février à 17H (au Théâtre national de Chaillot, avec Andrée Grau) 
et mercredi 20 février à 19H (au Musée du Louvre, avec Laetitia Doat et Marie Glon) 

Plus d'informations, tarifs et réservation : 

mardi 29 janvier 2013

SEMINAIRE du GRIMAS


Séminaires du GRIMAS
Groupe de Recherche Interdisciplinaire sur la Musique et les Arts du Spectacle
Équipe Patrimoine et Langages Musicaux, Paris-IV EA 4087
Direction : Raphaëlle Legrand (université Paris-IV) et Bertrand Porot (université de Reims) 

Vendredi 1er février de 10h à 19h
Journée « Musique et danse en France à la fin de l’époque moderne »
Agrégation de musique 2103 
(organisation Raphaëlle Legrand et Bertrand Porot)

Paris-IV Sorbonne, Centre Clignancourt, 2 rue Francis de Croisset, 75018salle 120 de 10h à 13h et salle 117 de 13h à 19h.

Matin (10h à 13h) : Atelier avec Hubert Hazebroucq (Compagnie « Les Corps Éloquents », université de Reims).
Atelier gratuit avec inscription obligatoire auprès de :
Raphaëlle Legrand : raphaelle.legrand@wanadoo.fr

Bertrand Porot : bertrand.porot@gmail.com

Après-midi (14h30 à 18h30) : conférences présidées par Raphaëlle Legrand (université Paris-IV)

I- Contexte historique et artistique
14h30 : Françoise Dartois (université Paris-IV) : « Les relations musique et danse à travers les écrits des maîtres à danser et maîtres de ballet au XVIIIe siècle ».

15h : Marie-Françoise Bouchon (CNSMDP) : « La contredanse comme jeu social au XVIIIe siècle ».

15h30 : Sylvie Granger (université du Mans) : « “Ce n’est point à Paris seulement que le goût et les talens s’exercent” : danser et contredanser dans les provinces au XVIIIe siècle ».

16h – 16h30 : pause

II- Musique et danse : correspondances, interactions, interdépendances
16h30 : Bertrand Porot (université de Reims) : « Musique et danse à l’Opéra-Comique dans la première moitié du xviiie siècle ».

17h : Théodora Psychoyou (université Paris-IV) : « Mesure du temps et mouvements de danse : musique, geste et mécanique au XVIIIe siècle ».

17h30 : Hubert Hazebroucq et Jean-Noël Laurenti (université de Pau, CESR de Tours) : « La correspondance musique-danse d’après les écrits théoriques de Feuillet (1700-1704) : prolongements dans la pratique ».

18h00 : conclusion

samedi 26 janvier 2013

FORMATION



Université Paris 8.
DU "Techniques du corps et monde du soin" 2013-2014

Ce cursus est un partenariat entre l'université Paris 8 (Formation Permanente et Département Danse), l'association Dessine Moi un Mouton, ainsi que Le CDC à la Briqueterie qui accueille une partie des sessions. 

Il s'agit d'un cursus interdisciplinaire, ouvert aux danseurs, praticiens somatiques et aux professionnels du soin et/ou du travail social. Il s'adresse donc à tout professionnel du domaine chorégraphique et du secteur associatif sanitaire et médico-social qui souhaite acquérir des outils dans la conception, le portage, la réalisation de projets de pratiques corporelles en direction des publics vulnérables dans leur santé ou leur vie sociale.
Cette formation répond aujourd'hui aux besoins croissants des danseurs et praticiens du corps de repenser leur pratique dans les contextes de l'accompagnement médico-social ou socio-éducatif. Elle propose une approche critique et analytique des pratiques corporelles présente aujourd'hui dans de multiples milieux professionnels extérieurs ou périphériques au champ artistique et particulièrement le domaine de la santé et de l'accompagnement social. 

La formation débutera le 13 mai  2013 et s'achèvera le 4 juillet 2014 
à raison de 5 jours de formation par mois.
Vous pouvez consulter la plaquette d'information de la formation 
sur le lien suivant:
                 http://www.fp.univ-paris8.fr/techniques-corps-soins?page=article

vendredi 25 janvier 2013

SEMINAIRE

La prochaine séance du séminaire d'Histoire culturelle de la danse aura lieu le lundi 28 janvier de 19h à 21h.
EHESS : 105, bd Raspail, Paris 6ème, Salle 8. 
Nous aurons le plaisir d'accueillir Chloé Dalesme  qui nous parlera du thème suivant :
« Peindre la danse à la cour : naissance d'un thème iconographique au XVIe siècle ».
En espérant vous y retrouver,
L'Atelier d'histoire culturelle de la danse

PUBLICATION



PUBLICATION


vendredi 18 janvier 2013

PEDAGOGIE DALCROZE




RENCONTRE

Chorégraphes Associés a le plaisir de vous inviter à la rencontre/débat qui aura lieu à l'invitation du Phare, Centre Chorégraphique National du Havre, Haute Normandie, direction Emmanuelle Vo-Dinh. 

"Le chorégraphe, ce citoyen" 
Vendredi 1er février 2013 14h - 18h


Le Phare
30 rue des briquetiers
76600 Le Havre


Invités: Dominique Boivin, Fazette Bordage, Sylvain Groud, Catherine Grout, Alain Liévaux, Emmanuelle Vo-Dinh 

" Quelle est la place du chorégraphe dans la société ?
Aujourd'hui le chorégraphe est considéré comme un artiste vivant dans un monde "à part".
Le chorégraphe est un citoyen comme les autres.
Que peut-il apporter à la société tant au niveau théorique que concret grâce à son métier, ses connaissances et ses pratiques?
 "

Réservation souhaitée contact@lephare-ccn.fr

COLLOQUE GESTES ET MOUVEMENTS


PRIX DE THESE DU CIERA 2013


Prix de thèse du CIERA 2013

Appel d’offre
  • Le CIERA décerne un prix de thèse destiné à distinguer un travail doctoral parmi les recherches universitaires en lien avec le monde germanique. Sont éligibles au prix de thèse du CIERA les thèses de doctorat rédigées en français et issues de toutes les disciplines des sciences humaines et sociales.
    Le prix prend la forme d’une publication de la thèse primée dans la collection du CIERA, Dialogiques, aux Éditions de la Maison des sciences de l’homme.






    Le CIERA prend en charge les frais de composition, d’édition et de promotion de l’ouvrage. Il assure un suivi auprès de l’auteur pour la transformation du travail de doctorat en livre destiné à être publié et pour toutes les étapes de la publication.
    Le prix de thèse du CIERA 2013 est ouvert aux thèses de doctorat soutenues entre le 1er janvier 2011 et le 31 décembre 2012.

    Les dossiers de candidature doivent comprendre :

    • un exemplaire papier et un exemplaire électronique de l’ouvrage
    • le rapport de soutenance
    • un bref curriculum vitae du candidat
    • un résumé de la thèse
    • une lettre de candidature présentant et motivant le projet de publication

    Délai de candidature :

    31 janvier 2013

    Dossier papier non relié (pas de recto-verso) à adresser par voie postale à :

    CIERA
    à l’attention de M. Werner, directeur
    Maison de la Recherche
    28 rue Serpente
    75006 Paris
    Tél. : 01 53 10 57 35

    Contact :

    info@ciera.fr
    http://www.ciera.fr

jeudi 10 janvier 2013

LABORATOIRE DU GESTE

Cette troisième session aura lieu le Mardi 22 Janvier 2012 de 18h à 21h 
avec Les Gens d’Uterpan
 SE CONFRONTER :
en déplaçant le laboratoire et le geste, la posture et l’action 

deviennent performatives.


Important : Les personnes qui veulent participer à cette session doivent se manifester avant samedi 19 janvier et laisser leur adresse mail. Dès dimanche soir, les chorégraphes leur enverront une notice spécifique qui conditionnera le travail développé mardi.
Inscription obligatoire : laboratoire@laboratoiredugeste.com  


Annie Vigier est née en 1965, Franck Apertet en 1966, ils vivent à Paris. Annie Vigier et Franck Apertet sont associés depuis 1994 sous le générique les gens d’Uterpan. Ils ont inauguré un processus de création qui progressivement a dépassé le strict champ chorégraphique. Leur travail questionne les normes qui régissent le spectacle vivant et l’exposition. Ses implications portent sur plusieurs points et passent entre autre par la prospection des limites du corps et des conventions de représentation.

SEMINAIRE DU GESTE

La prochaine réunion du séminaire « Figures du geste dansé : mythes, identités, interprétations » aura lieu vendredi 18 janvier, de 17h à 19h, dans les locaux du CEHTA, 2 rue Vivienne, 75002 Paris

Présentation suivie d’une discussion :

Bruno Traversi, « Proprioception et transcendance. Étude du geste spontané dans la danse Kagura Mai  »

Résumé de l’intervention sur le blog



mercredi 9 janvier 2013

PUBLICATION


 Figures de l'attention. Cinq essais sur la spatialité en danse
par Julie Perrin
les presses du réel, Dijon, 2012, 325 pages, 18 €



Faire l’expérience d’une œuvre chorégraphique conduit le public à éprouver cette sorte de tension propre à la relation esthétique, au cours de laquelle le spectateur s’invente comme sujet sensible. Ce livre propose de considérer comment l’œuvre oriente et favorise un trajet perceptif que l’examen de la spatialité en danse met en évidence. La spatialité contribue à organiser un régime de visibilité et d’attention : elle semble jouer un rôle déterminant dans la façon dont l’œuvre sollicite le spectateur, en désignant où regarder et comment percevoir. Cette hypothèse est mise à l'épreuve des analyses successives de cinq pièces : Self-Unfinished de Xavier Le Roy (1998), Trio A d’Yvonne Rainer (1966), Suite au dernier mot : au fond tout est en surface d’Olga Mesa (2003), Con forts fleuve de Boris Charmatz (1999) et enfin Variations V de Merce Cunningham (1965). L’attention à l’œuvre chorégraphique est ainsi au cœur de la réflexion : comment chaque danse, à l'intérieur du dispositif de perception constitué par la scène occidentale, sollicite-t-elle le spectateur pour conduire son attention vers le surgissement d'une figure dansante ?
Julie Perrin
Julie Perrin est enseignante-chercheuse au département Danse de l’université Paris 8 Saint-Denis. Elle est l’auteure de Projet de la matière – Odile Duboc : Mémoire(s) d’une œuvre chorégraphique, Centre national de la danse / Les presses du Réel, Dijon, 2007. Elle a coordonné avec Emmanuelle Huynh et Denise Luccioni, Histoire(s) et lectures : Trisha Brown / Emmanuelle Huynh, Les presses du réel, Dijon, 2012 et avec Françoise Michel, Odile Duboc. Les mots de la matière. Écrits de la chorégraphe, Les Solitaires intempestifs, Besançon, 2012.


PUBLICATION

  • Un pas de deux France-Amérique 30 années d’invention du danseur contemporain au C.N.D.C. d’Angers
  • par Gérard Mayen

  • 15 x 21 cm / 432 pages / Date de Parution : Novembre 2012 / ISBN : 978-2-35539-133-0








Les questions de la formation du danseur en tant qu’artiste — et pas seulement en tant que destinataire d’un bagage technique — n’ont quasiment jamais été abordées.
L’originalité de cet ouvrage réside dans l’angle qu’il propose pour saisir les évolutions extraordinaires qu’a connues la danse en France au cours des trois dernières décennies. Il s’agit en effet de comprendre quel type d’artiste chorégraphique le mouvement de la danse contemporaine a envisagé de former ; et comment cela nous renseigne sur le projet de ce mouvement.
C’est donc en s’immergeant dans la tumultueuse histoire du Centre national de danse contemporaine d’Angers, qu’on perçoit les débats, avancées, retournements, rêves, illusions, succès et échecs de la scène chorégraphique de l’Hexagone dans la même période.
Créé en 1978 en tant qu’École nationale supérieure de danse contemporaine, le C.N.D.C. d’Angers est resté chevillé au mouvement esthétique qu’il a accompagné, en formant plus d’un demi-millier de jeunes artistes chorégraphiques. Six directions s’y sont succédé, chaque passage de relais signifiant une profonde redéfinition du projet de l’établissement. Une constante se vérifie en revanche, qui est celle de l’usage invariablement maintenu d’une référence française aux acquis de la modernité chorégraphique américaine.
Une centaine d’entretiens avec les acteurs de cette histoire, l’exploration des archives de l’établissement et de son très riche fond vidéographique, auront permis de saisir en quoi chaque goutte de sueur dépensée dans un studio est chargée d’implicites qui rendent compte des dimensions économiques, politiques, éthiques, idéologiques et plus largement esthétiques de tout le mouvement de la danse.

PUBLICATION


Emmanuelle Huynh, Denise Luccioni, Julie Perrin (coord.), Histoire(s) et lectures : Trisha Brown / Emmanuelle Huynh, les presses du réel, Dijon, 2012, 343 pages.
 



« En 1992, lorsque je sollicite une première rencontre avec Trisha Brown, je ne sais pas encore que je vais m'intéresser à la question de la transmission, à la question de l'école comme lieu d'émancipation. C'est pourtant ce qui se joue dans ces conversations qui auront lieu pendant dix ans. À travers les questions à Trisha Brown, souvent préparées, parfois improvisées, je cherche à comprendre tant le cœur du travail, sa fabrication intime, le rapport aux danseurs, leurs corps, leur imagination, que le contexte du travail, le cadre hiérarchique de la compagnie, le désir d'école, les questions économiques qui parfois donnent de nouvelles orientations. À mesure que je la rencontre, je peux inventer ma route et préciser mes propres options. Loin de m'inféoder à elle, ce lien m'autorise et m'émancipe. »
Emmanuelle Huynh
 
Ces conversations sont accompagnées d'échanges avec des collaborateurs de Trisha Brown, de textes de ses danseurs, de notes consignées lors d'un stage avec la chorégraphe, de trois jours de conférence donnée au CNDC d'Angers en 2006. L'ensemble est suivi d'un essai sur cette filiation déliée entre Trisha Brown et Emmanuelle Huynh.

PUBLICATION





Public Sphere by Performance Par Bojana Cvejic & Ana Vujanovic (édité par TkH)
2012, 184 pages, en anglais, 978-3-942214-10-0, 16€



Le livre Public Sphere by Performance est le résultat de la recherche Performance and the Public, menée pendant deux ans par Ana Vujanović, Bojana Cvejić et Marta Popivoda en 2011 et 2012 dans le cadre de la résidence de TkH-Walking Theory (Belgrade) aux Laboratoires d'Aubervilliers How To Do Things By Theory. Marta Popivoda a, dans ce cadre, réalisé le film documentaire Yugoslavia: How Ideology Moved Our Collective Body.
Performance and the Public: le point de départ de cette recherche est la problématique récurrente du «public»: l’occultation de la sphère publique tout au long du vingtième siècle, comme symptôme de la crise de la démocratie représentative. La dimension théorique et politique de cette recherche transdisciplinaire s'ancrent dans les expériences discontinues de participation à la sphère publique dans l’ex-Yougoslavie socialiste et dans le monde occidental néo-libéral d'aujourd'hui. TkH propose une analyse et un débat à propos du «public» - et ses déconvenues – à travers plusieurs modèles de performances collectives, de masse, ou individuelles, tels le drame social et la chorégraphie sociale. À travers leurs nombreuses collaborations avec des artistes, des théoricien/nes et des activistes en 2011, TkH a étudié différents artefacts et pratiques transversales – sociales, artistiques, culturelles: mouvements, images, lois, coutumes et discours. La motivation au cœur de cette recherche, qui allie l’étude des arts performatifs à la théorie politique et aux sciences sociales, peut être illustrée par les questions suivantes, tirées de la préface du livre:
…Quel a été le rôle du «public» dans ces moments historiques et contemporains? Même si le public n’a pas été passif et invisible lors de chacun d’entre eux, quels furent sa position et son emprise? Cela a-t-il permis le changement? Quand bien même cela a eu des effets politiques et sociaux, nous sommes enclines à reprendre la question formulée par John Dewey: ce public était-il conscient des conséquences de ses actions?.... Que revendiquions-nous quand, en tant que public, nous nous élevions pour protester? Et dans quelle mesure cela correspond-il à ce que nous avons obtenu en retour, soutenant ou nous opposant à tel ou tel acteur politique sur la scène publique ?... En tant que citoyen/nes, que pouvons-nous faire avec ce que nous savons et avons «entre les mains», ou, dans notre cas, avec notre expertise théorique et pratique dans le champ de la performance


Achat en ligne: http://www.b-books.de/






lundi 7 janvier 2013

SEMINAIRE ARTS