mercredi 28 mars 2012

JOURNEE D'ETUDE


mercredi 21 mars 2012

PUBLICATION

Bonjour,

Nous sommes heureux de vous informer que l'échangeur de Fère-en-Tardenois – CDC Picardie fait l'objet d'une nouvelle publication :

L'échangeur de Fère-en-Tardenois – un lieu simple
Aux Editions L'Entretemps – collection Etat des lieux
www.entretemps.org

L'échangeur de Fère-en-Tardenois, en Picardie, est devenu en 2011, le premier Centre de Développement Chorégraphique en milieu rural. Ce caractère « pionnier » en dit autant sur l'identité de L'échangeur, que sur la réalité des politiques culturelles en France. De quoi inviter au récit !




L’échangeur est, à bien des égards, simple. Sans décorum. Sans cérémonie. Sans prétention. L’équipe s’emploie à réunir les conditions pour que de nouveaux gestes artistiques puissent continuer de s’inventer le plus librement et professionnellement possible et, à partir de ces gestes, pour que des rencontres adviennent, appelant sans fin d’autres rencontres. Bien sûr, la réunion de ces conditions dans le contexte politique national et qui plus est dans un milieu rural, souvent malmené, est une gageure. Bien sûr, tout ce que soulèvent les arts dans les sociétés, ouvre des gouffres pour la pensée. Il y a de quoi disserter ! Mais l’équipe est résolument dans le « faire », concentrée sur les fameuses conditions à réunir, les situations à vivre. A L'échangeur les mots dépassent rarement les faits. Assez logiquement, L’échangeur n’a donc pas développé de littérature sur lui-même. Il fait joliment écho à cet art de la danse qu’il entend servir et qui, par nature, est éphémère et insaisissable. Le chorégraphe Merce Cunningham disait : « La danse ne vous donne rien en retour, ni manuscrit à vendre, ni peinture à mettre sur les murs, ni poème à imprimer, rien que cette sensation unique de se sentir vivant ».

Se sentir vivant.

La danse ne s’en interroge pas moins sur les conditions de sa transmission. Et c’est précisément ce qui nous préoccupe à l’endroit de L’échangeur. Transmettre. Et pour ce faire, raconter. Tenter de mettre en mot une expérience. En donner le goût.
En 1991, dans la minoterie en friche de Fère-en-Tardenois, nommée « Moulin Canard » est né L'échangeur...

CONFÉRENCE

Atelier des Doctorants en Danse

Bonsoir à tous,

Nous avons le plaisir de vous adresser le programme de notre prochain atelier de doctorants qui se déroulera le mardi 27 mars de 17h à 20h au Centre national de la danse de Pantin.
Cet atelier portera sur l'articulation entre pratique et théorie dans la recherche en danse.
Pensez à réserver si vous souhaitez participer à cet atelier en téléphonant au 01 41 83 98 98 ou en écrivant à reservation @ cnd . fr

NOUVELLE REVUE EN LIGNE

Versus, une nouvelle revue sur la danse, en ligne
http://www.speedbattles.com/versus_0.html

Avant d'être une pratique artistique, la danse est une pratique
anthropologique et sociale, une pratique qui touche tout un chacun, à tous
les âges de la vie. Cette pratique, aussi démocratique qu'elle puisse
paraître, semble paradoxalement l'une des plus élitistes et des plus fermées
au moment où elle s¹institutionnalise ou s'objective en oeuvre d'art.

Il s'agit pour nous d'ouvrir au maximum le discours porté sur la danse. De
multiplier les angles d'approches pour saisir une pratique tout autant
artistique que sociale. De diffracter les regards, de construire une vision
kaléidoscopique mais globale de ces pratiques de la danse pour sortir du
discours spécialiste dans lequel elles semblent prisonnières.

VERSUS est constitué d'une base iconographique et textuelle riche sur les
thématiques des arts et de la compétition. Il confronte la danse à la notion
de rivalité, à d'autres formes d'art, d'approches.

VERSUS propose de donner la parole certes aux artistes, aux chercheurs, au
danseurs, aux critiques, mais aussi au public, à ceux qui pratiquent l'art
en amateur.

Ce premier numéro de Versus confronte la danse à la notion de compétition,
faisant écho aux Speedbattles qui ont initié ces questionnements par leur
forme tout autant que par leur dynamisme et leur souci d'ouverture, et qui
ont permis de faire vivre cette revue. Neuf articles aussi riches que
divers, souvent personnels, toujours pertinents viennent ici proposer un
regard sur la danse à la lumière d'un concept qui la travaille et semble lié
à elle de manière très intime (qu'on le déplore ou qu'on s'en accommode).

Il s'agit pour nous d'ouvrir au maximum le discours porté sur la danse. De
multiplier les angles d'approche pour saisir une pratique tout autant
artistique que sociale. De diffracter les regards, de construire une vision
kaléïdoscopique mais globale de ces pratiques, sans sacrifier à l'exigence
d'une parole toute aussi intelligente qu'intelligible.
Nous aimons penser que tout est en mouvement, et que tout mouvement produit
une danse. Si celle-ci recèle toujours une énigme, une sorte de mystère que
l'on ressent souvent mieux que l¹on ne l¹analyse, Versus est l'occasion de
faire bouger un peu certaines lignes, de répondre au mouvement par le
mouvement, au mystère par le dialogue.

APPEL À COM

Bonjour,

le Département de danse de l’UQAM associé à quelques chercheurs en danse français propose un symposium sur la transmission en danse à l’Intérieur de la Biennale “Éducation Formation Pratiques professionnelles” organisée par le CNAM de Paris du 3 au 6 juillet 2012 ayant pour titre “Transmettre?” Nous souhaitons solliciter des chercheurs en danse français et européens pour participer à ce symposium.
Pour de plus amples information voir le site de l'ACD.

mardi 6 mars 2012

PUBLICATION


"Is there repetition or is there insistence. I am inclined to believe there is no such thing as repetition. And really how can there be." Gertrude Stein




La revue Agôn a le plaisir de vous annoncer la parution de l'enquête " Einstein on the Beach 1976//2012 ".


Manière de circuler entre l'oubli et le souvenir, ou plutôt d'inventer ce qui pourrait être un visage du souvenir à partir de l'oubli, nous vous proposons de découvrir les textes-traces, matières-mémoires recueillis autour de la mise en scène d’ Einstein on the Beach de Bob Wilson en 1976 ainsi que de ses différentes reprises. C'est la reprise de cette pièce à l’Opéra-Orchestre National de Montpellier en mars 2012 qui nous a donné l'occasion d'inaugurer cette rubrique des « Mémoires du spectateur »

Au sein de cette enquête, conduite sous la direction de Barbara Métais-Chastanier (ENS de Lyon - Montpellier III) et Edwige Perrot (UQAM/Paris III – Montpellier III), se côtoient des souvenirs très divers, des paroles recueillies ou écrites, sous la forme de bribes, de poèmes, de coulées fragmentées, de réflexions plus longues ou déliées. C'est cette diversité qui nous a paru précieuse tout autant que la volonté de s'en tenir, dans la mesure du possible, à la mince couche du perceptible, sans jamais s'aventurer trop loin dans la théorisation ou le jugement porté.

CONFÉRENCE

Le Laboratoire du Geste ( ART&FLUX, Institut Acte/UMR-Paris1) vous présente
la 4e session de


Cette quatrième session aura lieu le Mercredi 14 Mars de 18h à 21h
avec Mélanie Perrier

« Toucher n’est pas jouer »



Quel lien existe-t-il entre le toucher, l'acte tactile qui nous met en relation avec la réalité et la pensée ?
Cette session sera l’occasion d’expérimenter tant des dispositifs pratiques et corporels que des protocoles autour de l’incorporation d’œuvres contemporaines pour une typologie possible du toucher. Quelques expérimentations à la croisée de ses recherches chorégraphiques.
Quelques lectures préparatoires : http://www.laboratoiredugeste.com/spip.php?article234


Ces sessions sont conçues et imaginées par Mélanie Perrier & Barbara Formis



Entrée Gratuite / places limitées
Inscription obligatoire : laboratoire@laboratoiredugeste.com

Université Paris 1 Panthéon Sorbonne
UFR Arts Plastiques et Science de l’Art
47 rue des bergers 75015 Paris
Métro : Lourmel, Boucicault Javel, Charles Michel
Tram : Balard
Salle 440, 4ème étage

www.laboratoiredugeste.com
http://www.art-flux.org














PUBLICATION


Danse contemporaine, mode d'emploi

Philippe Noisette, Laurent Philippe

Éditeur : Flammarion

254 pages / 23,66 € sur

Résumé : Un titre en forme de promesse inquiétante, une couverture aux coloris criards, et donc la hantise de lire un manuel “pour les nuls” : des écueils vite oubliés à la lecture de cet ouvrage roboratif. Lumineux, précieux et généreux.